Insupportable, le simplet composé par John Travolta convertit le thriller paranoiaque en nanar d'un nouveau genre
I know this much is true
Hors la performance de Mark Ruffalo, il faut louer l’immersion que cette mini-série impose. Le tempo et le sentiment d'étouffement ne faiblissent sur aucun des épisodes.
Rabid
Honnête série B horrifique sur la mode et les apparences, Rabid se réserve quelques scènes de transformation efficaces et malsaines qui font honneur à l'oeuvre adaptée
Blood Quantum
Derrière ce zombie flick pro-Indiens d'Amérique, le propos est de décrire une révolte de la nature contre ceux qui l’ont détruite. Mais tout cela s’efface derrière l’efficacité de l’action.
Avenue 5
Si ce n'est ce pitch prometteur, on ne trouve que du cynisme tiède et des échanges fonctionnels dans cette première livraison, bien loin de la satire féroce de Veep.
The Outsider
La grande qualité de The Outsider est de dissimuler son étrangeté, partant sur la base d'un polar très réaliste, décrivant les procédures judiciaires ainsi que les états d'âme des protagonistes comme le ferait un bon récit du genre.
Game of Thrones – Series Finale The Iron Throne
En dépit de quelques beaux moments, cette fin ne permet pas de reconsidérer la série rétrospectivement, ni de quitter les héros complètement soufflé par des choix finaux radicaux.
Game of thrones – 8×05 The Bells
Miguel Sapochnik et son équipe ont mis les bouchées doubles et ils sont parvenus à créer suffisamment de spectacle pour l'emporter. Mais les espoirs d'une cohérence globale de la série n'ont jamais été aussi minces.